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dimanche 12 juin 2016

Gạo Á, gạo Âu, ở đâu mua gạo nào ăn.

Ngoài luá gạo được trồng ở những nước như Việt, Miên Lào, Thái Lan, ở đâu chúng ta còn có thể tìm mua được gạo  để dùng.

Trong chương trình tìm hiểu về lúa gạo được chọn lựa, gieo trồng, gặt hái đến người tiêu dùng, chúng ta hãy ghé lại nơi đây để tìm hiểu gạo tây, gạo ta có gì khác nhau.

Có phải ở đâu mua thức ăn nơi đó là cách giản dị nhất để "ăn cây nào, rào cây nấy" và giúp đỡ cho những nông dân tại đây giữ được truyền thống bao đời của cha ông để lại.

Camargue ở nước pháp, cũng có nơi có nước mặn tràn vào, cũng có chút gió biển, cũng có ruộng muối và với tài liệu bên dưới, chúng tôi hy vọng các anh chị có thể biết hạt gạo quý đến chừng nào khi nó còn nuôi sống chúng ta.

Hãy trân trọng với những thức ăn từ công khó làm ra và bảo đảm an toàn vệ sinh thực phẩm là  biết thương người như thể thương thân.

Tôi trích toàn bộ bài viết bằng tiếng pháp, quý anh chị nào cần thông dịch ra xin vào trang Blog, ở gốc bên trái dưới hàng chữ HƯƠNG XUÂN 2016, sẽ tìm thấy outils để dịch ra thứ tiếng nào mà mình thông thạo nhất ở nơi quốc gia nơi quý anh chị cư ngụ.

Caroline Thanh Hương photo ec41c5e1-2f82-4a2c-b620-7746278e0a33lua1.jpg

 CAROLINETHANHHUONG: Từ những năm 1888 đến 1991, luá gạo ở Việt Nam,, Miên, Lào là giống lúa gì, ở đâu có, đọc sách để biết

Xin lưu ý với các bạn hữu Blogger, Website nào muốn trích đăng bài sưu tầm hay bài viết, thơ, nhạc của groupe chúng tôi về Blog, WordPress, Google Plus,​ của các anh chị, xin vui lòng đợi
1 tuần ​sau khi bài trong Blog của chúng tôi đã đưa ra public.
 
Riêng phần tiếp chuyển, thì xin cám ơn quý anh chị đã giới thiệu dùm đến người thân quen.​
 
Caroline Thanh Hương

 

Les variétés de riz Canavere

Riziculteurs depuis trois générations

La « SARL BENOIT RIZ DE CANAVERE » vous fait découvrir, à travers différentes variétés de riz de Camargue,  toute la richesse et l’authenticité de ces produits qui mûrissent au cœur de cette région sauvage.
Un label majeur, l’IGP (Indication Géographique protégée, certifié par Qualité France) garantit l’origine des produits et des méthodes de traçabilité rigoureuses.



Riz long blanc de Camargue
– Fiche technique en français PDF

Riz long complet de Camague
– Fiche technique en français PDF

Riz long étuvé

– Fiche technique riz long A étuvé 10min PDF
– Fiche technique riz long A étuvé 18min PDF
– Fiche technique riz long B étuvé 10min PDF

Riz long complet noir de Camargue
– Fiche technique en français PDF

Riz long parfumé de Camargue
– Fiche technique en français PDF

Riz long rouge complet Indica
– Fiche technique en français PDF

Riz gros rond blanchi de Camargue
– Fiche technique en français PDF

Riz rond risotto de Camargue
– Fiche technique en français PDF
Trois contraintes pour cultiver : la topographie, la salinité et la texture des sols
Trois facteurs naturels déterminent l’utilisation des sols dans le delta : la topographie, plus élevée au nord qu’au sud, la salinité croissante à mesure que l’on approche de la mer et la texture, limoneuse à l’est et sableuse à l’ouest. La conjonction locale de ces trois  facteurs conditionne le choix des productions agricoles. L’empreinte du sel est forte dans une grande partie du delta, spécialement les terres basses, d’où une préférence accordée aux cultures inondées propres à les dessaler. Avec 18 000 ha environ, le riz est la production dominante. A l’ouest, sur les sols plus sableux de petite Camargue, la vigne et la culture de l’asperge l’emportent. Au nord, en tête du delta et le long du grand Rhône, se sont développés le maraîchage et une arboriculture irriguée. Les terres cultivées couvrent aujourd’hui un tiers du delta soit environ 50 000 ha dont 25 000 ha entre les deux bras du Rhône.

Rizières: la culture du riz en Camargue

Limitée pendant plusieurs siècles à de très modestes superficies faute deEpi de riz moyens suffisants d’irrigation, la culture du riz ne s’étend qu’au lendemain de la seconde guerre mondiale. Le plan Marshall finance alors la réalisation d’importantes infrastructures hydrauliques et l’équipement en matériel indispensables à une riziculture intensive. Après une période d’euphorie dans les années 1960 (30 000 ha), puis de crise dans les années 1980 (4 000 ha), la production de riz a repris et s’est stabilisée depuis quelques années pour couvrir environ 18 000 ha.  Grande consommatrice d’eau, elle joue un rôle considérable dans l’hydrologie du delta d’avril à septembre. Mais les conditions de chaleur en Camargue sont à peine suffisantes pour amener le riz à maturité surtout pour les variétés à grains longs aujourd’hui les plus consommées. Malgré les efforts de sélection du Centre français du riz (Arles), la culture du riz reste une production à risques sur un marché mondial très concurrentiel. Dans le contexte européen, les producteurs de riz se sont orientés ers la mise en place d’une “ Indication géographique protégée (I.G.P.) obtenue en juin 2000.Ce signe de qualité européen atteste l’origine du produit et la constance de son niveau de qualité, grâce aux garanties apportées par une procédure de traçabilité couvrant toute la filière, de la récolte à la mise en vente.
Rizière

Le riz qui permet d\'autres cultures en Camargue

L'omniprésence du riz en Camargue est principalement due à son rôle de dessalement des terres.  Le riz constitue le pivot du système agricole en Camargue. Le modèle fonctionne ainsi: trois années de culture du riz qui dessalent suffisamment le sol mais le conduisent progressivement à son infestation par les mauvaises herbes. On introduit alors une culture pluviale qui peut être du blé dur, du colza, du sorgho, du tournesol, etc. Au bout de trois ans, la salinité réapparaît et il faut revenir à la culture du riz. Ce système fonctionne assez bien du point de vue de la gestion du sel et des mauvaises herbes. Si l'élevage est présent sur l'exploitation, on peut introduire la luzerne durant deux ou trois ans, la salinité remonte et de nouveau il faut revenir au riz pour dessaler.

Vignes en Camargue: une viticulture inondée et des vins de qualité

Le vignoble camarguais est inondé chaque année pendant 40 à 50 jours, une pratique mise en place à la fin du 19e siècle pour lutter contre le phylloxéra. Dans les années 30, il connaît son apogée avec près de 8 000 ha. Depuis, il est en constante régression excepté en petite Camargue (vin des sables). Aujourd'hui les quelques viticulteurs de Camargue héritiers des grands domaines de l'âge d'or pratiquent une viticulture qualitative : agriculture biologique, marque Parc naturel régional de Camargue, …
Vignes inondées en hiver © Pauline Daniel

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Riz de Camargue

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Riz de Camargue
Image illustrative de l'article Riz de Camargue
Variétés de riz de Camargue
Image illustrative de l'article Riz de Camargue

Lieu d’origineCamargue
Type de produitcéréale
ClassificationIGP depuis 1998
FestivitéFeria du riz[1] lors de la Feria d'Arles
Site webhttp://www.riztv.tv/
Le riz de Camargue, dont les premières traces de culture datent du Moyen Âge, est protégé par une IGP dans ses différentes variétés.


Historique[modifier | modifier le code]

Du XIIIe au XVIe siècle la riziculture ne cesse d’augmenter en Provence et surtout en Camargue. C’est à Henri IV que l’on doit la culture de riz en Camargue dès la fin du XVIe siècle, où il ordonna sa production, ainsi que celle de la canne à sucre et de la garance[2].
Dans les années 1840, les rizières vont être très utiles pour absorber l'eau des grandes crues du Rhône qui est à proximité, ainsi que pour dessaler les terres[3]. Grâce à cela, les terres vont être utilisées pour la culture des vignes. Au début du XXe siècle, la riziculture couvrait en Camargue 800 hectares[2]. Les agronomes avaient mis en exergue que la terre et le climat lui étaient très favorables, en effet, ce dernier profite d'une amplitude thermique plutôt réduite. Entre 1840 et 1913, plusieurs centaines d'hectares de rizières sont enregistrés[3]. À cette époque, le riz n'est pas récolté, ou alors pour servir de nourriture aux cochons[3]. La dernière rizière de cette époque disparaît en 1939[3].
Le riz camarguais renaît en 1941 grâce à l'arrivée de travailleurs indochinois envoyés sous le régime de Vichy dans des conditions extrêmement précaires, par leurs connaissance ancestrales dans ce domaine, ont recréé une riziculture de qualité, qui transforma en profondeur l'économie et les paysages du delta du Rhône. Les Indochinois seront extraits de cette culture vers 1948. De 400 hectares en 1944, la Camargue passe à 3 000 hectares en 1945, puis 32 000 hectares en 1950 pour retomber 20 000 hectares au tournant du millénaire[4],[5].

Indication géographique protégée[modifier | modifier le code]



Riz de camargue - Carte IGP « Riz de Camargue »
Le riz de Camargue bénéficie d'une indication géographique protégée (IGP)[6], qui apporte des garanties au consommateur. Cette zone s'étend sur 15 communes des départements des Bouches-du-Rhône et du Gard, au cœur d'un triangle délimité par Aigues-Mortes à l'ouest, Port-Saint-Louis-du-Rhône à l'est et Tarascon au nord[7].
Obtenu dès 1998, l'IGP garantit au consommateur la provenance Camargue et le respect des procédures assurant la qualité de la production, la traçabilité des riz ainsi que les techniques de sélection variétales[7]. Elle est régie par un cahier des charges sous le contrôle de l'Institut national de l'origine et de la qualité (INAO)[8], et placé sous la responsabilité du Syndicat des riziculteurs de France et Filière. L'homologation du cahier des charges de l'indication géographique protégée (IGP) « Riz de Camargue » a été confirmée par l'arrêté du [9].
Actuellement l'IGP concerne les différentes variétés de riz produites en Camargue[10] :
  • Les riz ronds,
  • Les riz demi-longs,
  • Les riz longs,
  • Les riz très longs,
Elle garantie de même leur différentes présentations à la commercialisation[10] :
  • Les riz complets ou riz cargo, simplement décortiqués, triés et nettoyés, de couleur rouge ou brune,
  • Les riz blancs,
  • Les riz naturellement parfumés,
  • Les riz étuvés - rendus incollables par simple action de la vapeur d’eau sous pression sur l’amidon du grain.
Ces différentes variétés sont également proposées au consommateur en version[10] :
  • biologique, respectant le cahier des charges Agriculture Biologique,
  • précuite, riz à cuisson rapide.

Culture[modifier | modifier le code]



Récolte du riz en Camargue
Pour voir apparaître une riziculture intensive, il a fallu attendre l'endiguement du Rhône, à la fin du XIXe siècle, qui permit l'apport d’eau douce dans les rizières camarguaises, puis le plan Marshall, qui finança d’importantes infrastructures hydrauliques. L'eau est pompée dans le Rhône puis envoyée dans de grands canaux, vers les propriétés qui partagent les frais d'entretien. Elle est ensuite distribuée par d'innombrables petits canaux - les porteaux - aux rizières. Il est nécessaire d'utiliser de 30 000 à 50 000 m³ d'eau par hectare afin d'éviter les remontées de sel[2].
Sans ce vaste réseau d’eau affecté à la riziculture, qui profite aussi aux étangs et aux marais, l'écosystème camarguais serait sans doute très différent en raison de la salinité importante des sols. En 1958, les rizières s'étendaient sur 30 000 hectares, produisaient 141 000 tonnes de riz pour un rendement moyen de 10 quintaux à l'hectare. Les riziculteurs, au nombre de 2 000, cultivaient des parcelles d'une moyenne de 25 hectares et pompaient, chaque année entre 900 000 et 1 200 000 m³ d'eau dans le Rhône[2].
Ce fut au cours des années 1960, que les riziculteurs commencèrent à mécaniser plantation et récolte. Sur 100 hectares cultivés, on comptabilisait une moyenne de 14 tracteurs et de 4 moissonneuses-lieuses[2]. Actuellement le maintien de la riziculture est due à la fois au dynamisme des riziculteurs locaux et à la technicité des différents centres de recherches et d’expérimentation[7].

Production[modifier | modifier le code]



Usine Sud-Céréales, pour le conditionnement du riz, à l'entrée d'Arles
En 2008, le riz était cultivé en Camargue sur 16 640 hectares avec une production de 98 176 tonnes de riz paddy (à l'état brut, non décortiqué). À titre de comparaison, toujours en 2008, en Europe 408 498 hectares sont cultivés pour une production de 2 583 133 tonnes de riz paddy, et la production mondiale atteint 661 millions de tonnes. En 2010, 200 riziculteurs cultivaient 21 200 hectares avec une production de 120 000 tonnes de riz paddy[11],[12].
Les riziculteurs camarguais, qui jusqu'à présent bénéficiaient d'importantes aides européennes, vont sans doute voir leurs subventions fortement baisser. À la décision de la Commission européenne s'ajoute celle de la France qui a décidé de supprimer une partie des aides aux riziculteurs au profit des éleveurs. Les subventions qui s'élevaient à 800 euros l'hectare, vont passer à 500 euros en 2014, puis à 300 en 2019. Seules sont en mesure de résister les quatre plus grandes exploitations camarguaises, dont celle du groupe italien Euricom, avec ses 1 200 hectares, deux autres (de 800 à 1 000 hectares) appartiennent à des sociétés de stockage, le Comptoir agricole du Languedoc et Biosud. Les surfaces consacrées au riz ont ainsi diminué de 5 000 hectares en 2014 pour tomber à 14 700 hectares, contre 24 500 dans les années 1990. Le groupe Soufflet qui possède une usine de transformation du riz d'une capacité de 80 000 tonnes à Arles étudierait sa fermeture. Pendant ce temps, l'Italie et l'Espagne continuent à percevoir des aides de près de 1 000 euros à l'hectare[13].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Cali, Provence enchantée, Éd. B. Arthaud, Paris, 1963.
  • Jacques Marseille (sous la direction de), Dictionnaire de la Provence et de la Côte d'Azur, Éd. Larousse, Paris, 2002. (ISBN 2035751055)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

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